Devant un Gainbridge Fieldhouse plein à craquer, l’équipe a répondu aux attentes de ses fans en livrant une véritable démonstration lors du match 6, évitant l’élimination et gardant le rêve du titre bien vivant. Score final : 108 à 91.
Grâce à ce résultat, les deux équipes se retrouveront dimanche (22) pour un match 7 décisif à Oklahoma City. Le vainqueur de cette rencontre remportera le trophée. Il s’agit du premier match 7 en finales NBA depuis l’affrontement légendaire entre les Cavaliers de Cleveland et les Warriors de Golden State en 2016.
Jeanie Buss, propriétaire des Lakers, vient de vendre la franchise à Mark Walters, propriétaire des Dodgers en MLB !!
Prix de la vente ? 10 MILLIARDS DE DOLLARS !! 😱💰
C’est évidemment la plus grosse vente de l’histoire de la NBA, et de toute franchise en sport américain. Les Lakers appartenaient à la famille Buss depuis la fin des années 70, une affaire de famille qui devait perdurer.
C’est donc un énorme changement qui intervient à Los Angeles, quelques mois après la vente des Celtics du côté de Boston. En attendant de voir l’impact que ça aura sur le sportif, il fait bon vivre d’être propriétaire d’équipe sportive…!!
Pour la première de Xabi Alonso sur son banc, le Real Madrid a été tenu en échec par Al-Hilal (1-1), ce mercredi, lors de son entrée dans la Coupe du monde des clubs. Les Merengues ont manqué un penalty dans le temps additionnel.
Ce n’est pas tout à fait l’idée que l’on se faisait d’une nouvelle ère. Il n’y a pas eu d’effet miracle pour la première de Xabi Alonso sur le banc du Real. On retiendra du nul concédé contre Al-Hilal (1-1), ce dimanche, tout le chemin qu’il reste à accomplir pour cette équipe madrilène que l’on n’imaginait pas autant en difficulté face 2e du dernier championnat saoudien.
La mise en route a été difficile et la suite n’a pas été bien meilleure en dépit de l’ouverture du score de Gonzalo Garcia (34e). Le but contre le cours du jeu inscrit par l’attaquant formé à la Castilla – titulaire en l’absence de Kylian Mbappé fiévreux mardi – a été l’une des rares éclaircies d’une soirée que les Merengues ne sont jamais parvenus à complètement maîtriser. Il a fallu que Thibaut Courtois s’interpose d’entrée devant Sergej Milinkovic-Savic (2e), que Salem Al-Dawsari manque le cadre d’un rien (45e+2) et que Marcos Leonardo y mette beaucoup du sien (10e, 53e, 72e) pour que le Real en sorte indemne. L’égalisation de Ruben Neves (45e+2), sur un penalty concédé par Marcos Asencio, a récompensé les efforts de la formation dirigée par Simone Inzaghi.
À moins de six semaines de l’Afrobasket féminin d’Abidjan, l’équipe nationale féminine de basketball du Sénégal voit sa préparation compromise par un refus de visas américains.
À un peu plus d’un mois de l’Afrobasket féminin (26 juillet-3 août, Abidjan), la préparation des Lionnes du Sénégal vient de se heurter à un obstacle diplomatique majeur. Sur les 21 personnes initialement prévues pour le stage de préparation aux États-Unis, dix-huit se sont vu refuser leur visa par l’ambassade américaine à Dakar : cinq joueuses et treize membres du staff technique.
Seuls deux techniciens et deux internationales ont obtenu le précieux sésame, un contingent trop restreint pour maintenir le déplacement vers Chicago et Atlanta. La délégation sénégalaise se retrouve ainsi privée de sa préparation américaine, pourtant cruciale dans la course vers le titre continental.
Un refus collectif sans explication
Selon des sources proches de la Fédération sénégalaise de basketball (FSBB), tous les dossiers de demande de visa comportaient pourtant les documents requis : lettres d’engagement du ministère des Sports, garanties d’hébergement et réservations de billets retour. Malgré ces garanties, l’ambassade américaine a opposé un refus sans fournir d’explication détaillée.
« Ce refus est incompréhensible« , confie un proche du dossier au quotidien Record. Cette situation ravive les critiques concernant le traitement réservé aux délégations sportives africaines quand la géopolitique interfère avec le sport.
Auréolé de son nouveau statut de vainqueur de la Ligue des champions, le PSG a démarré sa Coupe du monde des clubs par une éclatante victoire face à l’Atlético (4-0), grâce à des buts de Ruiz, Vitinha, Mayulu et Lee. Grâce à ce succès, Paris prend la tête du groupe B et se lance idéalement dans la compétition.
Le match : 4-0
Il n’y avait pas mieux que cette correction infligée à l’Atlético de Madrid (4-0) pour étrenner ce statut de champion d’Europe tout neuf et assumer l’étiquette de favori qui est accolée au PSG dans cette Coupe du monde des clubs. Il y a eu une classe d’écart, ce dimanche, entre les Parisiens et les Colchoneros. Avec, à la clé, un succès par quatre buts d’écart qui dit beaucoup du chemin parcouru par les joueurs de Luis Enrique depuis la dernière rencontre entre les deux équipes (défaite 1-2 du PSG, le 6 novembre dernier lors de la phase de poules de la Ligue des champions).
Dans ses standards en termes de possession de balle (près de 70 %), le PSG est devenu une équipe dont l’efficacité ne souffre même plus de l’absence de son meilleur buteur Ousmane Dembélé. Il aurait fallu, pour les Madrilènes, se montrer beaucoup plus consistants pour ne pas prendre la marée.
Sérieux et sans pitié, les Bavarois sont parfaitement entrés dans leur Coupe du monde des clubs avec ce succès 10-0 face aux amateurs d’Auckland City.
Les Français se sont particulièrement distingués puisqu’Olise et Coman ont signé un doublé chacun, et que Boey a inscrit son premier but avec le Bayern ! Prochain rendez-vous pour les Allemands : Boca Juniors dans la nuit de vendredi à samedi prochain.
L’Inter Miami et les Egyptiens d’Al Ahly se sont séparés sur un résultat nul 0-0 samedi au Hard Rock Stadium de Miami pour le match d’ouverture de la Coupe du monde des clubs 2025. Lionel Messi est resté muet malgré un coup franc sur le poteau.
Pour cette première, dans la moiteur de Miami, la star argentine de 37 ans a manqué d’un rien d’inscrire le premier but de cette compétition inédite sur coup franc, à l’heure de jeu, mais sa frappe a échoué sur le petit filet, après avoir embrassé le poteau.
L’octuple Ballon d’Or s’est démultiplié et a bien cru se muer en passeur décisif à la 84e minute, en déposant un centre sur la tête de Fafa Picault, tout juste entré en jeu, mais Mohamed El Shenawy a repoussé sa tentative d’une claquette. Le portier égyptien a encore été à la parade dans le temps additionnel, en repoussant sur sa barre un centre-tir enroulé de Messi.
